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Les grands enseignements de l'économie comportementale (4/5)
Daniel Kahneman était psychologue social avant d'être reconnu comme économiste. C'est ainsi presque naturellement que ce quatrième épisode fait dialoguer un psychologue social, Sylvain Max, et un économiste, François Cochard. Ils parlent de ce qui rapproche mais aussi de ce qui différencie leurs disciplines académiques autour de la question des inégalités de genre.Comment expliquer que sur plus de 200 chefs d'État, seuls 21 soient de sexe féminin ? Comment expliquer de manière plus générale la faible présence des femmes aux postes à responsabilités ? Une expérience suggère que leurs homologues masculins seraient plus à l'aise dès qu'il s'agit d'entrer en compétition. Cela peut avoir trait à une surconfiance en soi née de stéréotypes sociaux. Une autre montre, avec davantage de finesse, que l'appétence pour la compétition dépend aussi de si son objet est étiqueté masculin ou féminin. Le type de compétition n'est pas non plus neutre, les femmes semblant plus à l'aise lorsqu'il faut la jouer en équipe. Au total, le phénomène s'avère source d'inefficacité : de mauvais compétiteurs entrent en lice quand de meilleurs se désengagent. Comme l'expliquent les deux chercheurs invités, cela soulève un certain nombre de questions, non sans implication pour les politiques économiques.Crédits"In extenso." est un podcast produit par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Thibault Lieurade. Production, Romain Pollet Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les grands enseignements de l'économie comportementale (3/5)
Ce comportement humain reliant fins et moyens sert-il toujours un dessein purement personnel, quitte à recourir au mensonge ? Une expérience d'économie maintes fois répliquée met en évidence une préférence pour l'honnêteté chez de nombreux individus. Lorsqu'il leur est demandé de jeter un dé à l'abri des regards et d'en rapporter ensuite le résultat, les tricheurs systématiques s'avèrent minoritaires. De quoi nuancer quelque peu la théorie classique de la délinquance en économie attribuée à Gary Becker. Miser sur l'importance d'une sanction ou sur la probabilité de se faire prendre ne sont pas les uniques moyens de lutte. On peut ainsi observer que la propension à tricher demeure fortement corrélée à la qualité des institutions du pays dans lequel l'expérience est menée. Jouer sur la honte pourrait notamment avoir un effet sur les fraudeurs occasionnels dans les transports en commun d'après Fabio Galeotti et Marie-Claire Villeval qui dialoguent dans cet épisode. Cela serait, certes moins, efficace auprès de ceux qui ont entrepris une « carrière de délinquant », adopté un système de normes différent et qui fraudent systématiquement comme l'expliquait en 1963 le sociologue américain Howard Becker, mais pousser les individus à se sentir comme « quelqu'un de bien » pourrait être un levier d'action puissant. Il apparaît d'ailleurs que ceux qui fraudent au moment de prendre le tram… sont aussi ceux qui trichent le plus au jeu. Un constat qui invite par exemple à lutter contre la fraude en jouant sur la honte plutôt qu'en recourant à des sanctions, démontrent Fabio Galeotti et Marie-Claire Villeval (Université de Lyon)Crédits"In extenso." est un podcast produit par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Thibault Lieurade. Production, Romain Pollet Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les grands enseignements de l'économie comportementale (2/5)
En 2003 est publié dans Nature un article depuis abondamment cité, fruit des travaux des économistes Suisses Ernst Fehr et Urs Fischbacher. Leur idée ? La coopération au sein de notre société reposerait essentiellement sur un mécanisme de « sanction altruiste ». Là où des individus, ceux que les économistes nomment « passagers clandestins », peuvent profiter des efforts de leurs concitoyens sans avoir à mettre la main à la pâte, la menace que peuvent mettre à exécution ceux qui coopèrent semblent suffisante pour dissuader pareil comportement. Mais, si sanctionner représente un coût et ne rapporte rien à l'individu qui se décide à le faire, comment le mécanisme peut-il fonctionner ? Qui prendra l’initiative de la sanction ?L'expérience de laboratoire conduite par ces deux économistes et décrite dans ce deuxième épisode par Marc Willinger et David Masclet montre que c'est bien là où il y a sanction qu'il y a coopération. Cette sanction semble reposer sur la colère du coopérant se rendant compte que tout le monde n'adopte pas un comportement vertueux. Si la décision de sanctionner vise ainsi à calmer un état émotionnel négatif, l'expression « sanction altruiste » reste-t-elle alors pertinente ? Cela semble en tout cas s'éloigner un peu de la figure du parent qui sanctionne son enfant avec l'argument classique : « C'est pour son bien » … Des sanctions altruistes donc ? Pas si sûr si l'on considère ce qui les motive, à en croire Marc Willinger (Université de Montpellier) et David Masclet (Université de Rennes 1).Crédits"In extenso." est un podcast produit par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Thibault Lieurade. Production, Romain Pollet Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les grands enseignements de l'économie comportementale (1/5)
« L'économie est la science qui étudie le comportement humain en tant que relation entre des fins et des moyens rares susceptibles d'être utilisés différemment ». C'est ainsi que l'économiste anglais Lionel Robbins de la London School of Economics caractérisait l'objet de la science économique dans un célèbre texte de 1932. Même si certaines expériences s'avèrent relativement anciennes, à l'instar des questionnements sur le risque, l'économie dite « comportementale » reste pourtant un champ disciplinaire assez récent. Cela peut sembler paradoxale au regard de cette définition canonique. Elle a néanmoins trouvé sa consécration avec en particulier le « Nobel » d'économie reçu par Daniel Kahneman et Vernon Smith en 2002.Il est question, dans ce premier épisode de notre série, des incitations qui influencent nos comportements, qu'il s'agisse de motivations personnelles ou bien de récompenses ou de sanctions extérieures. Certaines expériences récentes sont venues bouleverser nos certitudes sur le sujet. L'économiste israélien Uri Gneezy et son confrère italo-américain Aldo Rustichini peuvent par exemple qu'observer que la conséquence de l'instauration d'amendes par les parents retardataires à la crèche… les a conduits a être encore plus en retard. Combinées à des observations en laboratoire interrogeant les effets d'une rémunération sur les capacités créatives des individus ou bien ce qui les motivent à procéder à des dons, ces expériences permettent d'interroger des situations quasi-quotidiennes. Pour les professionnels de la gestion, par exemple, les enseignements s'avèrent nombreux sur les bienfaits d'une politique sociale pour attirer les talents. Au sein de la science économique, elles ont pu conduire un autre « Nobel », Jean Tirole, à affiner le cadre théorique classique. Ce sont toute ces choses que nous expliquent Angela Sutan, économiste à Burgundy School of Business, et Radu Vranceanu, enseignant-chercheur à l'Essec.Crédits"In extenso." est un podcast produit par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Thibault Lieurade. Production, Romain Pollet Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sexualités, un regard philosophique (5/5)
Mouvement NoGender, procréation médicalement assistée, gestation pour autrui, et même bébés génétiquement modifiés en Chine, voire transhumanisme… Les sexualités n'ont jamais semblé autant bouleversées qu'aujourd'hui, ni les débats aussi vifs.Matrice de la vie politique ou encore économique, les sexualités, éclairées tant par les lumières de la pensée occidentale qu'orientale, doivent, selon lui, nous aider à comprendre qui nous sommes et le sens de ce que nous voulons être.Et à l’avenir ? Dans ce dernier épisode, c’est l’existence même des notions de « masculin » et « féminin » qui est interrogée. Si le processus de disparition de celles-ci est en route, est-il pour autant souhaitable de le conduire à son terme ? Que penser d’ailleurs du transhumanisme ? Pour le philosophe Laurent Bibard, la question du sens, notion qui a trait à notre corps, ne doit pas être oubliée.Conception, Thibault Lieurade. Production, Romain Pollet Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sexualités, un regard philosophique (4/5)
Mouvement NoGender, procréation médicalement assistée, gestation pour autrui, et même bébés génétiquement modifiés en Chine, voire transhumanisme… Les sexualités n'ont jamais semblé autant bouleversées qu'aujourd'hui, ni les débats aussi vifs.Laurent Bibard explique dans ce quatrième épisode que « féminin » et « masculin » sont des notions qui soutiennent la vie politique. Chez Aristote, à une époque où le succès à la guerre dépendait grandement de la force du nombre, celle-ci puise ses racines dans la vie conjugale, élément duquel découleraient un certain nombre d’interdits en termes de sexualité qui ont marqué l’histoire de l’Occident. Un basculement s’opère toutefois avec Thomas Hobbes (et d'autres) qui ne considère plus l’humain à partir de la cellule familiale mais à partir d’une notion abstraite, celle de l’individu qui n’aura de cesse d’organiser la vie économique."Sexualités, un regard philosophique" est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Thibault Lieurade. Production, Romain Pollet Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sexualités, un regard philosophique (3/5)
Mouvement NoGender, procréation médicalement assistée, gestation pour autrui, et même bébés génétiquement modifiés en Chine, voire transhumanisme… Les sexualités n'ont jamais semblé autant bouleversées qu'aujourd'hui, ni les débats aussi vifs.Matrice de la vie politique ou encore économique, les sexualités, éclairées tant par les lumières de la pensée occidentale qu'orientale, doivent, selon lui, nous aider à comprendre qui nous sommes et le sens de ce que nous voulons être. Si la pensée occidentale, décortiquée dans l’épisode précédent, est aujourd’hui, pour le meilleur ou pour le pire, dominante, cela ne saurait, pour Laurent Bibard, occulter les apports des religions orientales. Le taoïsme, notamment, invite à considérer que, nés de la rencontre entre un homme et une femme, nous portons tous en nous le féminin et le masculin, les inséparables yin et yang dont l’entrelacement caractérise autant l’échelle individuelle que l’infiniment grand. Cette dynamique a quelque chose à dire à qui imagine la possibilité d’un contrôle total de notre monde… "Sexualités, un regard philosophique" est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Thibault Lieurade. Production, Romain Pollet Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sexualités, un regard philosophique (2/5)
Mouvement NoGender, procréation médicalement assistée, gestation pour autrui, et même bébés génétiquement modifiés en Chine, voire transhumanisme… Les sexualités n'ont jamais semblé autant bouleversées qu'aujourd'hui, ni les débats aussi vifs.Matrice de la vie politique ou encore économique, les sexualités, éclairées tant par les lumières de la pensée occidentale qu'orientale, doivent, selon lui, nous aider à comprendre qui nous sommes et le sens de ce que nous voulons être. En prenant du recul, ce deuxième épisode fait du « masculin » et du « féminin » une grille d’interprétation de l’histoire de l’Occident. D'après Laurent Bibard, le christianisme entrelace d’une manière particulière le féminin, hérité du judaïsme, et le masculin du monde grec. Le schéma de l’incarnation, la mort puis la résurrection de Jésus-Christ suggère le dépassement total de la notion de nature, posant les fondements du monde moderne. Les humanistes, en laïcisant les concepts, ont alors pu faire émerger une « virilité nouvelle », potentiellement universelle, celle qui nous invite à nous rendre « comme maîtres et possesseurs de la nature »."Sexualités, un regard philosophique" est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Thibault Lieurade. Production, Romain Pollet Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sexualités, un regard philosophique (1/5)
Mouvement NoGender, procréation médicalement assistée, gestation pour autrui, et même bébés génétiquement modifiés en Chine, voire transhumanisme… Les sexualités n'ont jamais semblé autant bouleversées qu'aujourd'hui, ni les débats aussi vifs.Pour le philosophe Laurent Bibard, auteur d’une Phénoménologie des sexualités aux Éditions L’Harmattan, l'évolution de la conception des notions de « féminin » et de « masculin » au travers de l'histoire peut permettre de mieux saisir les enjeux actuels. Matrice de la vie politique ou encore économiques, les sexualités, éclairées tant par les lumières de la pensée occidentale qu'orientale, doivent, selon lui, nous aider à comprendre qui nous sommes et le sens de ce que nous voulons être. Quelle place pour le « féminin » et le « masculin » dans une époque marquée par la croyance dans le pouvoir de la technologie pour contrôler la nature ? Comment peuvent-elles offrir des clés d’analyse pertinentes pour comprendre notre monde ? Éléments de réponse dans ce premier épisode."Sexualités, un regard philosophique" est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Thibault Lieurade. Production, Romain Pollet Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les printemps arabes et le conflit israélo-palestinien
L'actualité, dans la région dite MENA — Moyen-Orient et Afrique du Nord — est aujourd'hui dominée par la résurgence du conflit israélo-palestinien. Un conflit qui a longtemps été au centre de toutes les attentions, mais qui, ces dix dernières années, a été quelque peu éclipsé par le phénomène dit des printemps arabes.Les révoltes qui ont secoué le monde arabe à partir de 2010, et qui ont conduit à des bouleversements considérables — en Algérie, en Tunisie, en Libye, en Égypte, au Liban, au Yémen, en Syrie, en Irak et dans bien d'autres pays encore — ont montré toute la vitalité de sociétés que l'on avait tort de croire fatalistes et soumises aux régimes dictatoriaux en place. Ces révoltes procèdent de dynamiques complexes — sociales, politiques, parfois ethniques ou religieuses ; mais elles ont toutes, en commun, une prise de conscience par les populations de la possibilité de remettre en cause un statu quo devenu insupportable. Quelles ont été les causes, les mécanismes et les résultats des printemps arabes ? Quel a été, et quel est aujourd'hui, leur impact sur la confrontation israélo-palestinienne ? Et comment cette confrontation est-elle perçue aujourd'hui dans un monde arabe en pleine mutation ?Pour en parler, nous accueillons aujourd'hui trois chercheurs membres du Panel International sur la sortie de la violence : Marie Kortam, chercheure associée à l’Institut français du Proche-Orient (IFPO – Beyrouth) et membre du Conseil arabe des sciences sociales ; Mohamed-Ali Adraoui, Senior Fellow au Middle East Institute de l’Université nationale de Singapour ; et Jalel Harchaoui, Senior Fellow à la Global Initiative against Transnational Organized Crime."Les printemps arabes et le conflit israélo-palestinien" est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Grégory Rayko. Production Romain Pollet. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quelle démocratie ? (3/3)
La démocratie, c'est littéralement le pouvoir exercé par le peuple. Elle ne se déploie évidemment pas de la même manière sous toutes les latitudes. Les Etats qui ont choisi ce régime, ou prétendent l'avoir choisi, l'appliquent chacun avec leur histoire, leurs institutions, leurs aspirations. Dans certains d'entre eux, la crise sanitaire a eu des impacts sur l'exercice de la démocratie. The Conversation a choisi d'explorer cette notion à travers une série de podcasts réalisée avec l'Institut des hautes études pour la science et la technologie, et intitulée « Quelle démocratie ? ». On y parle de ses évolutions aux États-Unis, en France, et en Chine. Les deux premiers États sont indéniablement des démocraties, même s'ils font régulièrement l'objet de critiques sévères. La Chine, elle, est un régime autoritaire qui, pourtant, se prétend démocratique.Dans cet ultime épisode intitulé « La démocratisation de la Chine, un espoir à oublier ? » nous nous intéressons à la République populaire de Chine. Comment comprendre les récentes évolutions du régime, aussi bien dans sa politique étrangère qu'à l'intérieur. Quel est le rapport à la démocratie de cet État autoritaire ?Le sinologue Jean-Pierre Cabestan nous accompagne dans cette réflexion. Jean-Pierre Cabestan est directeur de recherche au CNRS et chercheur associé au Centre d’étude français sur la Chine contemporaine de Hong Kong. Il est également professeur de science politique à l’Université baptiste de Hong Kong."Quelle démocratie ?" est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Françoise Marmouyet et Grégory Rayko. Production Romain Pollet. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quelle démocratie ? (2/3)
La démocratie, c’est littéralement le pouvoir exercé par le peuple. Elle ne se déploie évidemment pas de la même manière sous toutes les latitudes. Les États qui ont choisi ce régime, ou prétendent l’avoir choisi, l’appliquent chacun avec leur histoire, leurs institutions, leurs aspirations. Dans certains d’entre eux, la crise sanitaire a eu des impacts sur l’exercice de la démocratie.The Conversation a choisi d’explorer cette notion à travers une série de podcasts réalisée avec l’Institut des hautes études pour la science et la technologie, et intitulée «Quelle démocratie ?». On y parle de ses évolutions aux États-Unis, en France et en Chine. Les deux premiers États sont indéniablement des démocraties, même s’ils font régulièrement l’objet de critiques sévères. La Chine, elle, est un régime autoritaire qui, pourtant, se prétend démocratique. Comment la démocratie s’exerce-t-elle, se construit-elle, quels dangers la menacent ?Ce deuxième épisode, «États-Unis, une démocratie malmenée ?», est consacré aux soubresauts traversés par la démocratie américaine, l'une des plus grandes et des plus anciennes du monde. Après quatre ans de mandat tumultueux de Donald Trump, le démocrate Joe Biden a été élu en novembre 2020 dans un climat de contestation inédit. Qu'est ce que cette histoire récente nous dit de l'état actuel de la démocratie américaine ?Avec nous pour mener cette réflexion, l'historienne et américaniste Sylvie Laurent, maîtresse de conférence à Sciences Po et chercheuse associée aux universités de Stanford et de Berkeley."Quelle démocratie ?" est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Françoise Marmouyet et Grégory Rayko. Production Romain Pollet. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quelle démocratie ? (1/3)
La démocratie, c'est littéralement le pouvoir exercé par le peuple. Elle ne se déploie évidemment pas de la même manière sous toutes les latitudes. Les États qui ont choisi ce régime, ou prétendent l'avoir choisi, l'appliquent chacun avec leur histoire, leurs institutions, leurs aspirations. Dans certains d'entre eux, la crise sanitaire a eu des impacts sur l'exercice de la démocratie. The Conversation a choisi d'explorer cette notion à travers une série de podcasts réalisée avec l'Institut des hautes études pour la science et la technologie, et intitulée « Quelle démocratie ? ». On y parle de ses évolutions aux États-Unis, en France, et en Chine. Les deux premiers États sont indéniablement des démocraties, même s'ils font régulièrement l'objet de critiques sévères. La Chine, elle, est un régime autoritaire qui, pourtant, se prétend démocratique. Comment la démocratie s'exerce-telle, se construit-t-elle, quels dangers la menacent ? Dans ce premier épisode, « La démocratie française est-elle en crise ? », nous abordons les défis démocratiques auxquels notre pays est aujourd'hui confronté, de la défiance croissante envers les élites aux questionnements sur la représentativité des élus, en passant par la remise en cause du « système » comme on l'a vu avec les Gilets jaunes... Pour discuter de tous ces sujets, nous accueillons Pierre-Henri Tavoillot, maître de conférences en philosophie à Sorbonne Université et président du Collège de philosophie."Quelle démocratie ?" est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Françoise Marmouyet et Grégory Rayko. Production Romain Pollet. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quel nouveau monde ? (4/4)
En un an, un virus inconnu a mis la planète sens dessus dessous, bousculant tous nos repères. Il a fallu apprendre à vivre dans l’incertitude.Mais il nous faut aussi réfléchir à la nature de cette crise, aux outils dont nous disposons pour l’affronter, et, surtout, à ceux qu’il nous faudra inventer pour créer le monde de demain.C’est pour aborder toutes ces questions que The Conversation vous propose une série de quatre podcasts intitulée « Quel nouveau monde ? », réalisée avec le Collège des Bernardins.Antoine Arjakovsky, historien et directeur de recherche au Collège des Bernardins, nous accompagne tout au long de cette réflexion.Dans ce dernier épisode, nous nous intéressons à la spiritualité. A-t-elle un rôle à jouer dans la crise que nous traversons ?"Quel nouveau monde ? " est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Fabrice Rousselot et Françoise Marmouyet. Production Romain Pollet. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quel nouveau monde ? (3/4)
En un an, un virus inconnu a mis la planète sens dessus dessous, bousculant tous nos repères. Il a fallu apprendre à vivre dans l'incertitude.Mais il nous faut aussi réfléchir à la nature de cette crise, aux outils dont nous disposons pour l'affronter, et, surtout, à ceux qu'il nous faudra inventer pour créer le monde de demain.C'est pour aborder toutes ces questions, que The Conversation vous propose une série de quatre podcasts, intitulée « Quel nouveau monde ? », et réalisée avec le Collège des Bernardins.Antoine Arjakovsky, historien et directeur de recherche au Collège des Bernardins, nous accompagne tout au long de cette réflexion.Dans ce troisième épisode, « Les Nations unies sont-elles condamnées à l'impuissance ? », nous allons revenir sur le rôle des organisations internationales, et plus spécifiquement, de l'ONU. Pourquoi cette instance, créée pour préserver la paix et la sécurité mondiale, semble-t-elle si souvent inefficace ?"Quel nouveau monde ? " est une série In extenso produite par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Fabrice Rousselot et Françoise Marmouyet. Production Romain Pollet. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.